Le Conseil de l’Éthique est né avec le S.E.T.I., Cénacle de la Rose+Croix, et comme son nom l'indique, était le garant de la déontologie du SE.T.I., c’est-à-dire des devoirs à remplir par ce dernier.
Il n'avait aucun pouvoir administratif ni de gestion, mais il constituait l’instance suprême sur le plan des orientations et des idéaux développés par l’association. Il était aussi le garant de l’existence du mouvement.
Il élaborait ou validait les enseignements, les rituels et diverses cérémonies qui étaient dispensés par l’association lors des assemblées générales ou dans le 
cadre des Cercles de Réflexion.
Il définissait ou entérinait les actions qui pouvaient être entreprises dans le cadre de l’apostolat ou de la lutte contre ceux qui pervertissent le mouvement rosicrucien.
Enfin, soulignons qu'en tant que plus haute instance de décision du S.E.T.I. Cénacle de la Rose+Croix, le Conseil avait tenu lui-même, dès sa création, à se préserver des deux choses qui quelle que soit l'intégrité des fondateurs d’un mouvement, finissent par les corrompre : le pouvoir et l'argent.
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